NANTES Estuaire Encore des points à améliorer ! 28 février 2023
1 an après l’emménagement sur Estuaire, une information sur le retour d’expérience a été présentée au CSEE de janvier dernier.
Trois problèmes importants sont ressortis régulièrement lors des échanges sur cette présentation :
- Remontées d’eau dans le parking : selon la Direction en cas de surcharge
d’eau l’excédent a du mal à s’évacuer et remonte par les évents. Comme précisé en séance
sur ce point, il est envisagé de dériver ces derniers. - Difficulté d’accès à la cantine : Toujours Dixit la Direction des solutions sont,
ou, vont être mises en place pour fluidifier le parcours avec notamment une borne de
recharge de sa carte de cantine ou l’ouverture du 3ème poste de chauffe. Pour la CFDT, cela
ne règlera en rien, le goulet d’étranglement et la difficulté parfois de trouver une place assise.
La CFDT avait déjà fait remarquer au lancement du projet que les élus n’avaient pas été
associés et qu’ils émettaient des doutes sur le capacitaire. La CFDT s’inquiète d’autant plus
aujourd’hui que le site devrait se densifier ! - La température sur le site (le point noir !). De nombreux problèmes de chauffage
sont apparus la 1ère année. Selon la Direction cela est dû aux multiples défaillances de la
pompe à chaleur du site. Même si on peut entendre les défaillances dites « techniques », la
CFDT ne comprend pas l’inaction des Directions sur le sujet. Pourquoi de pas autoriser les
salariés à se mettre en télétravail les jours où il fait froid ? La DOGO ne prend nullement
ses responsabilités non plus et fait reposer (comme dit en séance) sur les managers les
autorisations de TLOC.
La CFDT dénonce cette hypocrisie qui pourrait faire croire que ces derniers ont la main et ce
dogmatisme de Direction qui se refuse quoiqu’il arrive à laisser plus de 2 jours par semaine
les salariés en télétravail. Elle préfère les voir avec leur manteau sur les épaules voire pour
certains avec des plaids ! Ou pire encore, s’enrhumer ou tomber malade !
Rappelons, que pour assurer de bonnes conditions de travail, l’employeur doit garantir
une ambiance thermique adaptée à l’activité physique des travailleurs. Et pour un
travail de bureau, en période hivernale, selon l’INRS la température de confort
thermique se situe autour de 21 à 23 °C. L’inconfort thermique peut être vécu comme
une dégradation des conditions de travail et favoriser certains facteurs de risques
psychosociaux.
La CFDT exige que des démarches proactives et réactives soient faites auprès des salariés
car les Directions le savent bien, « Elles sont responsables de la santé de leurs salariés ».
Même si la CFDT reconnait que des efforts ont été faits et que des améliorations ont été
perçues à certains étages, elle incite les salariés qui auraient des refus écrits de télétravail
en cas de froid (ou
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